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Les Zaventures de Magouille

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Les Zaventures de Magouille
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15 novembre 2010

A little story


One day, two pure souls met in dark forest.. One man, and one woman, alone.

fond73


They didn't understand what had happened, but their hearts did. They had fallen in love.

Arwen5


One was a princess, innocent, happy but her heart had known the despair and the sorrow of life..

0285


And the other was an angel, so dark. Not smiling. A fallen angel from the shadows, with fair blond hair.

Arwen2


They could hear each other in their heart, but couldn't see each other.

Aragorn_y_Arwen


They were each on one side of a one-way mirror...

dessin_H_D


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15 novembre 2010

Poem from "Four weddings and a funeral"

Poem from "4 weddings and a funeral"

"Stop all the clocks, cut off the telephone,
Prevent the dog from barking with a juicy bone,
Silence the pianos and with muffled drum
Bring out the coffin, let the mourners come.

Let aeroplanes circle moaning overhead
Scribbling on the sky the message He is Dead.
Put crepe bows round the white necks of the public doves,
Let the traffic policemen wear black cotton gloves.

He was my North, my South, my East and West,
My working week and my Sunday rest,
My noon, my midnight, my talk, my song;
I thought that love would last forever: I was wrong.

The stars are not wanted now; put out every one,
Pack up the moon and dismantle the sun,
Pour away the ocean and sweep up the woods;
For nothing now can ever come to any good.
"




Girl_With_April_In_Her_Eyes_by_jerry8448
Trop triste... mais trop beau. Vous ne trouvez pas?

PS: Demandez si vous voulez une traduction!

15 novembre 2010

Poème d'amour difficile

Il est de ces histoires d'amour qui demeurent longtemps dans l'absence.

Plus longtemps, même,

Que dans le feu de l’action,

Que dans la douce folie de la passion,

Que dans nos lambeaux déchirés d’innocence…

Nous nous pourchassons à travers nos rêves

Nous nous retrouvons sur nos lèvres

Nous nous assassinons de notre mièvre

Mais un jour, un jour, nous ferons une trêve.

© Agliam 2009

15 novembre 2010

Poème de liberté

Liberté :

Amour, je me sens enfermée

Entre ces murs, je suis barricadée.

Je me morfonds sans légèreté

Dans cette fausse réalité.

Je me sens manipulée

Dans ce monde de futilité.

Je pleure la liberté blasphémée

Par les monarques de cette société.

Et je moque les effrontés

Qui pensent la contrôler.

(Est-ce tout ? me direz-vous

Non, car je suis mortifiée

A l’idée que ces fous

Ne poursuivent leur épopée.)

© Agliam 2009

15 novembre 2010

Réflexion légèrement anarchiste sur la société (à prendre avec du recul)

Extrait d'une lettre à un ami.

J’ai souvent le goût de renoncer, renoncer à tout puisqu’on ne peut renoncer à une chose sans renoncer à toutes les autres. Nous nous plions tous aux règles. Des règles qui s’appliquent à des millions de personnes différentes ! Toutes ces personnalités, ces caractères, ces esprits, différant par des centaines de choses, qui obéissent aveuglément à une SEULE règle commune ! Tu ne trouves pas ca absurde ? Je n’ai pas envie de rentrer dans ce moule, de mener la vie de tout le monde. Je ne veux pas de la vie de tout le monde, si ça veut dire me battre tous les jours, toutes les heures, pour cette vie ridiculement plate et sans intérêt. Si ca veut dire me battre pour que dans 40 ans de labeur journalier je puisse commencer à profiter des vrais bonheurs de la vie. Si ca veut dire me battre pour que mes enfants mangent plus de publicité pour Nestlé que les vraies céréales. Qu’ils soient éduqués pour refiler tout le fruit de leur travail à une dictature qu’ils appellent Etat, pour financer telle ou telle guerre, pour renflouer les caisses de la Sécu, ou je ne sais quoi. Je ne veux pas expliquer à mes enfants que la vie est bien aussi décevante qu’ils le pensent, oui. Je ne veux pas les voir entrer en déprime parce qu’ils empathisent avec toutes ces épreuves, toute la souffrance de ce monde comme le fait ta sœur.

Quand je pense que je suis censée être dans l’âge le plus beau de l’existence, et que je me retrouve à faire un boulot ridiculement ennuyeux, pour rien en échange, à des milliers de kilomètres de tous les gens que j’aime ; à passer plus de temps éveillée la nuit que le jour. On ne travaille pas pour gagner de l’argent, en fait, on travaille pour passer le temps. Parce que si on faisait rien, on aurait le temps de penser, et de réfléchir à comment notre vie est vraiment absurde ici bas. On se rendrait compte qu’on doit se battre, oui, se battre, pour un bonheur idyllique que la morale nous empêchent d’atteindre. Pour une illusion.

waiting_for_a_hope_by_eladway







* Si on aimait vraiment comme on devrait, comme dicté par la morale, on aimerait de 20 à 30 ans. Avant, c’est trop jeune, c’est être précoce, c’est dangereux, c’est irresponsable, ca sert à rien… Et après, c’est déjà trop tard, on est un célibataire endurci, on n’a pas appris à aimer, on a trop trainé…
* Si on devait suivre parfaitement les règles de bonne conduite, on passerait tout notre temps à travailler, à parler pour ne rien dire, on se coucherait à 8h et se lèverait à 6h, on serait jamais saouls, on irait jamais en boite, on ne prendrait jamais de vacances, on donnerait tout notre argent aux impôts, au taxes, aux bonnes œuvres, et le reste à la société de consommation. On ferait plaisir aux autres et jamais à soi. On ne penserait jamais à soi.

Mais où est ce qu’ils ont mis la musique ? L’écriture ? Le monde qui reste à découvrir ? La nature ? Les sciences, ca ne nous sert à rien dans la vraie vie ! La sociologie, les maths appliquées, l’économie… tout ca c’est pour nous rendre compte comment on est enterrés jusqu’au cou dans un big plan mondiale misant à enrichir 2% de la population mondiale et asservir les 98 autres pourcents dans une société fermée à clé.


Pourquoi on se tue à construire une vie parfaite, des fondations en béton, des maisons, des études, une carrière… alors que tout est éphémère ? A  quoi ca sert internet ? C’est pas un truc aussi dérisoire qu’une phrase tapée sur MSN, un truc complètement ILLUSOIRE, qui va m’empêcher d’être heureuse, si ? Si le but de la vie c’est d’être heureux, alors pourquoi on fait tout ca ? Pourquoi on se lève tous les matins aux aurores pour voir la gueule ahurie de gens qu’on déteste ?

Est-ce que je suis la seule à aimer vraiment la vie, l’aimer tellement que je ne veux pas la perdre dans ce grand bordel qu’on appelle système ? Pourquoi croit-on que c’est uniquement en acceptant et utilisant le système qu’on peut être heureux ? Je n’ai pas envie d’attendre. Je ne veux pas vivre dans l’attente du futur et du bonheur imaginaire qu’il va m’amener. Je veux le vivre maintenant ! Pourquoi est ce qu’on ne commence pas à vivre tout de suite, au lieu d’attendre ? On va tous mourir, de toute façon, tellement vite ! Une vie, c’est quelques années, alors à quoi ça sert toute cette société de consommation ? Pourquoi on ne fait pas des systèmes éphémères, au moins on pourrait les adapter avec nos générations. Pourquoi on se lève à 7h alors que notre corps est maintenant prévu pour se réveiller à 9h ?


Toutes les décisions qu’on croit prendre ont déjà été prises il y a bien longtemps.  On pense qu’on est libres, mais on est aliénés depuis notre naissance. Pourquoi des trucs aussi idiots que les subprimes influencent ma vie à moi, qui n’ai jamais demandé à vivre dans cette putain d’économie ? Si je fais une école de commerce, c’est parce que je veux comprendre pourquoi et dans quoi on est embarqués. Je veux savoir pourquoi j’ai le droit de rien faire sans en référer à toute une chaîne de personnes, sans que ça influe le reste des gens qui m’entoure. Tu vois, je suis sure que tous ces grands politiciens, tous les Enarques, tous les gens qui ont étudié l’économie, la politique, je pense que c’est eux qui la déteste le plus.
Je ne veux rien regretter moi, je veux être méritante de ma vie parce que je n’ai que CA ! Je ne veux pas avoir à choisir à vingt ans entre des chemins opposés. Je ne veux pas choisir maintenant une vie que je devrais garder pendant trente ans. Je veux aimer tous les gens que j’ai envie d’aimer, partir là où j’ai envie d’aller.

Savin_me___sunset___by_moro003

Tu vois, je ne dis pas que la vie c’est nul, mais elle me déçoit. Justement, je ne comprends pas, suis-je la seule à l’aimer autant? Ils font tous n’importe quoi de leur vie ! Ils n’ont pas l’air au courant que le bonheur se trouve à quelques pas. On est tous froussards de faire ce pas, on a peur ! Mais quand et si on le fait, on fera tout. On fera n’importe quoi, on décevra les gens, on fera le tour du monde, on foutra la merde en politique. On ne peut pas rivaliser avec l’immensité du monde, avec la vraie liberté. Il faut que les gens comprennent que ça ne sert à rien de vouloir asservir le monde. L’homme a une autre dimension qui s’appelle l’esprit et l’on n’enchainera jamais ce souffle de vie là. Et nous nous échapperons de nos chaines. Il faut préserver nos différences, notre grain de vie unique en chacun de nous. Il faut préserver notre essence au lieu d’essayer de faire de nous des clones qui agissent tous pareil.
Et tu vois, mon esprit, mon essence à moi… elle ne m’a pas quittée. Je suis moi, et je le demeurerai jusqu’où je pourrai… Jusqu’à ce qu’un jour tout cela ait raison de moi.

Toi qui est mon ami, tu dois passer au delà de mes apparences, parce que je refuse que tu me voies comme tous les autres me voient. Et peut être alors, peut être, tu seras l’unique personne qui ne me décevra plus.


(Désolée pour les fautes d'orthographe du feu de l'action)

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15 novembre 2010

Melancholy of the future

MELANCHOLY OF THE FUTURE
When I'll be older...

I will still doubt about the truth of my life, and wonder if it is not all just a lie, a mean joke. By this time, we will all be apart...

I already regret these sweet times when I was coming over totally happy and careless. We used to play role games and hide and seek in the forest. We used to toy with our limits and discover together the forbidden fruits. I miss these times when we would listen to these bands we liked, very loud in the living room. I miss their visits in my natal mountains, their surprised looks to flourishing nature and vivid colors. And I'm sure they miss my pleased cries in front of the beauty of their stoned house and wooden floors. And this mysterious stone carved cross on the small hill, just by the main path... I miss his scary medieval story about their local savage beast, told in the middle of an autumn night, among the soft sound of the wind on the leaves. I miss their dad knee-high socks that made me smile. I miss the entertaining chat of their mother, always so nice and caring with me. She used to treat me just like them, like a sibling. I miss their little habits and manners, their way of talking, their chops of beer at 5 in the afternoon, their wake up call at 8 in the morning. I miss their love. I miss them so much...

Leaf_by_anniecarter

15 novembre 2010

La déchéance de notre génération

Je représente la déchéance de mon temps, sa débauche, son désespoir. Ma vie est une illustration de ce grand dilemme que ma génération vit chaque jour, de cette innocence perdue dans la dépravation et la cruauté de cette société. Il nous est permis de connaître les émotions les plus intenses, les moments les plus fous, les chutes les plus longues et les pires erreurs qui existent, tout cela avant l'âge de 20 ans. D'avoir l'impression d'avoir tout vécu et tout essayé avant même l'âge adulte.


On s'échappe
dans l'alcool et la fête, dans le noir de la nuit qui nous abrite. On se perd dans des rêves virtuels et des vies idylliques. On lâche le fil, le fil conducteur qui nous ramènerait à la réalité.


Nous n
ageons à présent dans cet idéal où tout est parfait, les corps et les intellects, dans un océan en apesanteur sans poids ni obligations. Nous planons dans un délire sans nuage. Nous ne cherchons même plus à revenir. Nous errons simplement les yeux hagards dans l'ombre de notre conscience, malheureux de cette culpabilité qui nous pèse, incompréhensible. Nous sommes jeunes la tête pleine de rêve et d'idéal, la réalité de la vie semble si terrible à nos yeux. Tout ce système de profit qui nous exploite, ces parents qui nous poussent, cette société qui nous rabaisse, ces gens qui nous accusent...

J'ai simplement besoin de me sentir détachée de cette vie là, attristée par le sort de ces gens impuissants victimes de cette cruauté. Je souhaiterai revenir à la nature, aux bases de notre existence, être simplement en harmonie avec mon cœur, et mon âme...

© Agliam 2008

 

14 novembre 2010

Remember Me

Remember Me (2010) avec Robert Pattinson, Emilie de Ravin.

J'ai vraiment aimé ce film très émouvant et qui aborde avec tact des points sensibles, comme le suicide, le décès d'un parent... J'ai aussi aimé le passage de ces deux grands adolescents à côté de leurs pompes à une vie plus adulte, le tout par la passion, la déception et le combat pour ce qui leur semble juste. Pattinson joue à merveille le rebelle traumatisé qui essaie de faire de sa vie quelque chose qui compte, fougueux et téméraire dans tout ce qu'il fait.

La fin m'a laissé bouche bée, grosse surprise. Bonne ou mauvaise: à vous de décider. J'ai trouvé ca bien incorporé, mais cependant un peu frustrant qu'on retrouve toujours des faits politiques qui n'ont rien à faire dans une histoire dramatique. En effet, les américains ne manquent pas une occasion de ramener sur le tapis des faits certes importants pour leur histoire, mais qui sont tout de même très discutables. Ce genre d'allusion politique n'a à mon gout rien à faire dans ce film :)

14 novembre 2010

The Runaways

Je ne crois pas avoir les mots pour expliquer comment j'ai ADORE The Runaways. Ce film était tout simplement magique, on entre dans l'univers des 70s et on souhaiterait ne pas en ressortir! Entre les vêtements typiques superbement mis en valeur, la musique des Runaways qui nous plonge dans l'univers sombre et profond du hard rock, le thème de la bisexualité exploité entre les 2 actrices principales mais aussi dans tout le film à travers la libération sexuelle (maquillage des hommes, tenues en cuir autant pour les hommes que pour les femmes), ce film est une réussite totale qui fait ressortir au mieux le talent de Kristen Steward. Dakota Fanning fait aussi preuve d'un jeu très prenant et réaliste que j'ai beaucoup apprécié.
Mon nouveau film fétiche, quoi.

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